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table des matières
 NOTIONS COMMUNES A TOUS LES T.P.: installations,
entrées analogiques, masse, capteurs, etc. 
  
Ces notions ou commandes, qu'on invoquera dans tous les TP de cet
ouvrage, sont exposées une fois ici et ne seront plus explicitées par la suite. 
I     Les
différentes interfaces ORPHY: présentation et mise en service  
II    Choix des
calibres et des entrées analogiques lors des acquisitions  
       B.
Extension des calibres avec la platine de
raccordement  
       C.
Impédances d'entrée  
       D.
Problèmes de références, de masse et de Terre  
       E.
Solution des entrées analogiques
DIFFÉRENTIELLES  
III   Les CAPTEURS DB15 à RECONNAISSANCE AUTOMATIQUE  
       A. Les nouveaux capteurs
à reconnaissance automatique   
       B. Les anciens capteurs à
prise DIN   
IV    Changements des noms de variables ou des unités
après importation  
V     Options générales; lettres grecques  
VI    Multi fenêtrage Windows de REGRESSI: les
CINQ fenêtres  
VII   Exportation vers l'imprimante ou le presse-papiers  
VIII  Choix de l'unité d'angle  
IX    Versions de Regressi pour chaque interface +
documentation: installation  
X     Conventions d'écriture ou de vocabulaire
dans ce manuel  
XI    Les conseils de Tépéor  
XII   Lancement automatique des acquisitions préréglées  
       Ouverture automatique des fichiers de données
Regressi  
XIII Boîte de dialogue "Coordonnées"...   
XIV  REGRESSI en réseau 
 
Fichier
Word correspondant 
  
  
     
 la
      mère: GTS 2 (liaison série, puis USB)  | 
    
        
      
 le père: GTI (liaison série)  | 
   
  
    | 
        
      
   LA FAMILLE ORPHY ! 
       | 
   
  
    | 
       les enfants:  
        
          | 
              PORTABLE II 
              
 
 (liaison série)
    | 
          
             µportable USB 
             
             
            
 
 
 (liaison USB)
    | 
         
        | 
    
       le petit dernier: GTI 2
        
      
 
 
 (liaison USB)
    | 
   
 
     
 
    | 
     Les interfaces
    GTI, GTS2 à liaison série (premiers modèles), et Portable2:   |  
 
     ne nécessitaient  aucune installation particulière: il suffisait de les alimenter
    en 220 V et de les relier par le cordon "série" au port
    série COM1 ou COM2 de l'ordinateur (cette connexion peut être réalisée
    sans inconvénient à chaud, c'est à dire ordinateur allumé). Cette
    connexion peut nécessiter l'utilisation d'un adaptateur 9/25 broches pour
    ports COM: utiliser de préférence celui fourni
    par Micrelec car certains adaptateurs du commerce ne relient pas
    tous les points nécessaires.
  
    | 
     Les interfaces
    GTI2, GTS2 à liaison USB (derniers modèles):   |  
 
    Attention: la mise en service des
    interfaces à liaison USB demande l'installation des pilotes nécessaires. Pour les utilisateurs de Windows
    98/XP, il
    faut pour cela suivre méthodiquement les instructions de mise en service
    figurant dans le fichier "Utilisateur Drivers98.doc" du cédérom fourni avec
    l'interface.
     NB: Portable USB
utilise le même logiciel que Portable 2 voie série.
  
Dans tous les cas, il faut installer la version de Regressi
correspondant à l'interface utilisée:  
   installation
ou mise à jour des différentes versions de REGRESSI
  
  
  
    | 
     avec GTI2 ou GTS 2, on peut choisir n'importe quelle entrée, puisque le calibre est choisi indépendamment par voie
logicielle. Les calibres extrêmes sont les suivants:  |  
 
  
    GTI2:  | 
    GTS2:  | 
   
  
    ± 
      10 V  | 
    ± 2 ou
      ±5 V  | 
   
  
    ± 50 mV  | 
    ± 100 mV  | 
   
 
 
    | 
     avec Portable II ou µUSB, il n'y a pas de choix direct de
    calibre: celui-ci est reconnu automatiquement et imposé par la capsule
    branchée sur une voie. Pour changer de calibre (en voltmètre par exemple),
    il faut donc changer de capsule.  |  
 
  NB: toutes les entrées analogiques
  non différentielles ont leur réf commune ( = masse d'ORPHY). 
Voir également à ce sujet le paragraphe § II.D. "Réf.
de mesure, masse, et Terre". 
  
  La platine de raccordement permet, grâce à un pont diviseur (de tension), de multiplier
  les calibres existants pour EA0, EA1, EA2, et EA3: 
  
    | cal*3 pour la platine
      GTI/GTS2 | 
    
         
      platine pour GTI/GTS2 
      
      avec pont diviseur: 191 k W+100 kW
      (*) | 
    GTI    | 
   
  
    GTS2   | 
   
 
(*)  cette dernière se trouvant bien
entendu en parallèle sur l'impédance d'entrée de l'interface (2.2 MW):
voir paragraphe suivant.
On peut ainsi "monter" jusqu'au calibre 30 V pour les trois
interfaces.  L'étalonnage
correspondant à ce coefficient doit être rentré de façon manuelle
dans le logiciel d'acquisition (même principe qu'en passant par un capteur)
correspondant à chaque interface.
  
1. Sans la platine de raccordement
  Elles sont a priori très élevées (consulter la
  documentation propre à chaque interface:  GTI2, ou GTS2, ) SANS
  l'utilisation en parallèle du module de raccordement: 2.2 M  W
  pour chaque entrée (ordinaire ou différentielle, toutes interfaces). Il est
  facile de la mesurer avec un ohmmètre, Orphy étant sous tension évidemment
  (circuits actifs). L'incidence sur les mesures sera donc en général
  négligeable.
2. Avec la platine de raccordement
  Tous les T.P. sur les régimes transitoires (faisant appel
  au module de raccordement pour bénéficier de l'interrupteur de synchro
  "Front") sont donc concernés.  L'utilisation des bornes
  d'entrées analogiques EA0 ->EA3 du type "fiches bananes femelles"
  (celles qui sont en couleur) vient modifier profondément cette impédance car
  le module de raccordement place en  parallèle sur le circuit extérieur son
  
  impédance interne  Z: 
  
   
de  100 kW  pour
    GTS2/GTI2. 
  
   Celle-ci doit donc être prise en compte dès que
  l'impédance R du circuit extérieur en parallèle dépasse quelques kW! 
  
    | 
  
   Exemple de problème:
   
   
  Lors de la charge d'un condensateur en série avec un
  résistor R, on trouvera une limite de charge (asymptote) E*Z/(R+Z)
  sensiblement inférieure à la tension E du générateur utilisé pour cette
  raison. Par exemple si R utilisée vaut 100 kW,
  la tension limite ne sera plus que de E/2! 
    | 
   
 
    
 
  
    | 
       SCHÉMA RÉEL: 
       
       
     | 
    
       SCHÉMA ÉQUIVALENT: 
       
      
       
       
      
     | 
   
 
La solution:
  
 
Il suffit d'utiliser n'importe quelle autre connectique
d'entrée analogique: 
 
  
    
      
          | 4 fiches type BNC avec les entrées EA4 =>EA7 sur la platine de
    raccordement (GTI2 ou GTS2) |  
          | 2 (ou 4) fiches type DB15 avec les entrées EA8, EA9, etc. sur la face
    avant d'ORPHY GTS2 (ou GTI2): prises G, H, etc. |  
          | 3 fiches DIN 6 broches avec les entrées EA0 =>EA3 sur la face ou
    le côté d'ORPHY  GTS2 (dans ce cas, retirer évidemment le
    connecteur d'extension latéral du module de raccordement): prises A, D (face avant),
    ou F (face gauche). |  
       
     | 
      | 
   
 
1. Notion de référence d'une tension 
  
    | 
       La RÉFÉRENCE de mesure d'une tension est le
      "pied" de la flèche correspondante; c'est donc aussi le point
      qui est relié à la borne "COM" du voltmètre de mesure, donc
      la borne NOIRE "Réf O V" sur l'entrée analogique de prise
      de mesure; cela pour toutes les entrées analogiques EA0=>EA11 (borne
      BLEUE "Réf" pour les entrées analogiques différentielles). 
      Si B est relié à la masse, VB=0; et uAB se confond donc avec VA.  | 
      | 
   
 
2. Référence, masse, et liaison à la Terre
Toutes les références O V (= bornes noires)
sont évidemment  reliées
entre elles à l'intérieur d'ORPHY, et constituent la
MASSE de l'interface. De plus:
  
    | dans le cas de GTI2 et GTS2, cette masse est reliée à la Terre. Dans un
    montage il peut donc y avoir un court-circuit avec une borne de générateur
    (ex: G.B.F.) qui serait par ailleurs reliée à la Terre…! Avec un tel
    générateur, la masse d'Orphy doit donc
    obligatoirement être reliée à celle du générateur. |  
    | dans le cas d'ORPHY portable ou µUSB, cette masse n'est PAS reliée à la
    Terre (ç'est à dire qu'elle est en potentiel flottant). Il ne peut donc
    pas y avoir de court-circuit dans un montage par l'intermédiaire des
    liaisons de Terre. |  
   
3. Exemples: montages possibles ou impossibles avec ORPHY dans le cas d'un
G.B.F. et des entrées analogiques simples (EAx)
Pour réaliser le 3è montage, il faut
obligatoirement un G.B.F. à masse flottante (= à masse isolée de la
Terre); si ça n'est pas le cas, une solution est de recourir à un
transformateur d'isolement (rapport 1/1). Une autre solution sera d'utiliser une
EAD (Entrée Différentielle): voir §E. 
  
    |   | 
    avec
      GTI2 et GTS2::  | 
    avec
      Portable2 et µUSB:  | 
   
  
       | 
     
       OK 
     | 
     
       OK 
        
     | 
   
  
    | 
        G.B.F. à
      masse flottante: 
         
        
        
        
     | 
     
         
      OK 
     | 
     
         
      OK 
     | 
   
  
    | 
            
       
       
     | 
    
         
      
        
      NON 
      (R court-circuitée!!)  | 
    
         
        
      OK 
        
     | 
   
 
4. Problème de référence 0 V des entrées analogiques dans le cas de deux tensions (ou
plus)...
  
    Du fait que toutes ces références sont
      communes, dans le cas du schéma ci-contre:
    
        | on pourra mesurer simultanément u1 et u3 qui ont les MÊMES
          RÉFÉRENCES |  
        |  on ne pourra PAS mesurer
          simultanément u2 et u3 (ou u2 et u1) qui ont des RÉFÉRENCES
          DIFFÉRENTES! (vouloir le faire reviendra à court-circuiter les 2
          points du montage qui seront reliés à la réf commune aux entrées
          analogiques ordinaires...).  |  
     
   | 
  
      | 
   
 
La première solution
(logicielle, mais indirecte) consiste à mesurer u1 et u3 (référencées au
même point), puis à utiliser la loi des mailles pour en déduire la 3è
tension. Elle correspond, pour les mesures avec les oscilloscopes traditionnels,
au recours simultané aux touches "ADD" et "-CHx". 
La deuxième solution
est matérielle: recours aux entrées analogiques DIFFÉRENTIELLES: voir
paragraphe suivant. 
  
    
     
     
  
Dans ces entrées spéciales, LA RÉFÉRENCE DE MESURE DE LA
TENSION EST ISOLÉE DE LA MASSE; les références des différentes entrées
(couleur BLEUE) sont donc ISOLÉES les unes des autres; cela à l'identique des
entrées différentielles des oscilloscopes. Il suffit donc dans le schéma
précédent d'utiliser UNE SEULE entrée analogique DIFFÉRENTIELLE pour pouvoir
mesurer simultanément les trois tensions u1, u2 (EAD), et u3. 
A l'inverse, il n'y a évidemment pas d'inconvénient à recourir
systématiquement aux EAD à la place des EA, même en l'absence de problème de
masse commune. 
  
      | 
    
       Avec GTI2 et GTS2, l'accès à ces EAD se fait par les
      cordons noirs spéciaux "EAD" (ceux équipés à leur extrémité"
      d'une fiche banane BLEUE
      au lieu de noire) branchés sur les prises DB15 (prises G, H, I, J) 
       
      Il est aussi
      possible par fiches bananes (figure ci-contre) avec GTS2. 
      
         | 
   
 
Dans tous les cas:  RÉFÉRENCE
tension = borne BLEUE 
Le recours aux entrées analogiques différentielles pourra
permettre une autre approche des T.P. Par exemple: 
  
    
      
          | charge du condensateur (vers tension constante): obtenir i et uc
    simultanément sur l'écran d'acquisition |  
       
      
          | établissement ou suppression du courant dans une bobine: obtenir i et ubob
    simultanément sur l'écran d'acquisition |  
       
      
          | tracé de la caractéristique d'un dipôle: obtenir i et u simultanément
    sur l'écran d'acquisition. |  
       
     | 
      | 
   
 
Il s'agira là surtout d'un choix pédagogique dans
ses implications (nécessiter ou non la loi des mailles, aborder ou non le pb
des masses communes). 
  
    
      
          | Signe de reconnaissance: la prise de
      raccordement à ORPHY est une prise de type DB15
      (=15 broches). Donc destinée aux
      prises G, H (I, J). 
          
         |  
          | Série de référencement:  M12Pxxx chez Micrelec. |  
       
     | 
      | 
   
 
1. Les capteurs SANS
étalonnage: 
  
    C'est le cas de:
      conductimètre, température, luxmètre, pression (absolue ou relative),
      décibelmètre, son (Sondor), fourchette optique. 
     | 
   
  
    | 
       (1) =>BRANCHER LE
      CAPTEUR DB15 SUR N'IMPORTE LAQUELLE DES PRISES G, H (I, J) DISPONIBLES 
     | 
    
         
  | 
    
       => (2) LE CAPTEUR EST INSTANTANÉMENT
      RECONNU SUR L'ÉCRAN DU LOGICIEL D'ACQUISITION:
         
     | 
   
 
2. Les capteurs AVEC
étalonnage (automatisé): 
C'est le cas du teslamètre
      et du pHmètre. On procède de même avec chacun d'entre eux, par
exemple avec le pH-mètre:  
  
    (1) 
      Brancher 
        | 
     
      (2)
      valider l'avertissement 
        
     | 
     
      (3) le
      logiciel actualise immédiatement l'affichage => CLIQUER sur la zone
      active 
     | 
   
 
  
    | (4)  cliquer sur
      le bouton "Etalonnage" dans la boite de configuration de la voie | 
    (5)  onglet
      "offset": étalonner avec une solution tampon pH=7 | 
   
  
      | 
      
      (6)  onglet "gain": étalonner avec
      une solution tampon pH=4
      (7)  VALIDER l'ensemble (OK). 
     | 
   
 
  
    | 
         
     | 
    Sur ORPHY
      GTI2,
      les prises DIN 6 broches repérées A à F n'existent plus: il suffit
      alors de brancher l'adaptateur DIN pour GTI2 réf M12G504 pour disposer de
      ces prises (sur lesquelles se branche le module Transel, l'ancien module
      de pression, etc). | 
   
 
IV.
Changements des noms de variables ou des unités après importation
  
      | 
    
 Après importation des données dans Regressi, il est encore possible
de modifier les unités et les noms (par exemple VA en Ur) des variables: un
double clic sur l'en-tête de colonne, dans l'onglet 'Variables', ouvre une boîte de
dialogue permettant les modifications, y compris le changement du format
d'affichage (les
unités(2)  peuvent aussi être modifiées directement dans l'onglet 'Unités'). 
     | 
   
 
V.
Options générales
A. Options de REGRESSI
    | La commande 'Options' de la barre générale de menus permet, en
    accédant à la boîte de dialogue 'Options générales', de paramétrer de nombreux
    éléments tels que: 
    
        | Format d'affichage des nombres 
       |  
        | Désactivation de certaines icônes 
       |  
        | Accès aux modèles pré définis, etc. 
       |  
        | Accès à cette boîte elle-même  
       |  
     
   |  
    | Si l'accès a été décoché, il reste encore possible en ajoutant
    à la ligne de commande du lancement de Regressi le paramètre "/o" (onglet
    'Raccourcis' de la fenêtre des propriétés de l'icône, accessibles par clic-D sur
    l'icône dans la fenêtre du bureau. 
   |  
 
B. Lettres grecques
Dans toutes les boites de dialogue, ou lignes
de saisie, de REGRESSI et de ses modules d'acquisition, le lettres grecques
s'obtiennent avec la combinaison de touches CTRL + lettre latine associée (1). Par
exemple, CTRL+p => p  
q s'obtient
avec la lettre q, et w
avec la lettre w 
Pour les majuscules, enfoncer en plus la
touche MAJ. 
VI.
Multi fenêtrage Windows de REGRESSI: les CINQ fenêtres
Dans la fenêtre logicielle de Regressi, on peut ouvrir et disposer
(emplacement, dimensions) cinq fenêtres, chacune indépendamment des autres: 
La disposition de ces fenêtres est sauvegardée automatiquement d'une
session à l'autre. Une seule de ces fenêtres est active (= celle des fenêtres sur
laquelle les commandes agissent) à la fois; on rend une fenêtre active en cliquant-G
dessus (les autres apparaissant en grisé et en arrière-plan). 
VII.
Exportation vers l'imprimante ou le presse-papiers
  A. Impression directe depuis Regressi
  
 
  Le contenu propre à chacune des 5 fenêtres (grandeurs, graphique,
  Fourier, statistique) peut être imprimé séparément en cliquant-G sur l'icône   ; dans le cas de la fenêtre 'Grandeurs', une petite boîte de
  dialogue demande alors s'il faut imprimer le tableau des variables (en plus des
  expressions), indépendamment de l'onglet sélectionné dans cette fenêtre. Le graphique
  est imprimé tel qu'il apparaît à l'écran (tracé
  de lignes, de légendes, réticules(3), etc ). En cas d'un très grand nombre de
  points à imprimer, l'imprimante peut refuser pour des problèmes de mémoire: la
  dimension du point doit alors être réduite à 1. L'impression du tableau des variables
  n'est possible que si celui-ci ne dépasse pas 59 lignes. 
  La commande 'Imprime' du menu général 'Fichier' permet de regrouper
  ces différents éléments en les cochant: expressions et tableau pour les variables,
  graphique (avec éventuellement les petits tableaux de coordonnées contextuels pour les
  curseurs 'Tangente' et 'Données'). 
  Pour tous les éléments du graphique, cocher l'option
  'Gras',
  accessible par les icônes 'Coordonnées'   ou 'Options'   , permet d'obtenir des traits plus épais dans le cas où le
  document imprimé servira d'original de photocopies. 
  B. Copie dans le presse-papiers
  
 
  Dans les fenêtres 'Graphiques', 'Graphe des
  paramètres', 'Statistiques', un clic-G sur l'icône   , sans
  sélection préalable, envoie également dans le presse-papiers le graphique tel qu'on
  peut le voir à l'écran (tracés
). Il vaut mieux choisir préalablement l'option gras
  si le document où sera collé le graphique est destiné à servir d'original de
  photocopies. 
  Dans la fenêtre 'Grandeurs' un clic-G sur l'icône   , sans sélection préalable, agit séparément sur le seul onglet
  sélectionné en envoyant dans le presse-papiers uniquement le contenu de cet onglet
  (éventuellement vide pour ce qui est des 'Paramètres' et des 'Expressions'). 
  Dans la fenêtre 'Fourier', on trouve les deux icônes de façon à pouvoir copier aussi
  bien le tableau que le graphique. 
  
 
VIII.
Choix de l'unité d'angle
Il se fait dans la barre d'icônes de la fenêtre 'Grandeurs',
onglet 'Expressions': l'unité
d'angle active est le radian si le bouton   est en
position sortie, et le degré si ce bouton est en position enfoncée   ; la bascule s'opère par clic dessus.  
IX.
Versions de Regressi pour chaque interface ORPHY + documentation
Le logiciel REGRESSI est constitué de deux
modules: le tableur-grapheur (commun à toutes les interfaces) REGRESSI, et le
module d'acquisition (spécifique à chaque interface) 
    | 
     
Le programme d'installation de la page d'avant-propos installe systématiquement
le tableur-grapheur: voir pour cela les instructions dans la  première page d'accueil
générale du cédérom. Les modules d'acquisition par interface
sont optionnels.  |  
    | Documentation de REGRESSI (par son auteur J.M. MILLET): |  
 
Cliquer ici pour
ouvrir dans Word la documentation complète de Regressi 
* Pointeur
(= 'souris'): 'cliquer-G' signifie 'cliquer' avec le bouton gauche (et cliquer-D avec le
bouton droit).
* 'cliquer-tirer' ou 'cliquer-glisser' indique qu'il faut cliquer (G) et
maintenir le bouton enfoncé en même temps que déplacer le pointeur à un autre
endroit de la fenêtre, et le relâcher alors. 
Tous les noms de variables et les équations à saisir dans Regressi
sont écrits en italique. Puisque les indices n'y sont pas possibles, ils n'ont
donc pas été placés pour ne pas induire les lectrices (lecteurs) en erreur; par
exemple, on trouvera uL pour une inductance au lieu de uL.  
XI.
Les conseils de Tépéor
  
     
  | 
  
    Cette image, apposée parfois au cours d'un chapitre,
    signale aux lectrices (lecteurs) des idées particulièrement originales, des astuces,
    etc. intéressantes à mettre en uvre, et propres à cet ouvrage.  | 
   
 
 
  
Voir à ce sujet le fichier d'aide
sur l'installation de TÉPÉOR et les problèmes qui peuvent être
éventuellement rencontrés. 
  
    | Il y a un onglet différent
      pour chaque courbe superposée:
          | 
      | 
   
 
Il est conseillé d'installer le logiciel sur le serveur: 
    | la mise à jour est facilitée quel que soit le nombre de postes clients
    à servir |  
 
  
    
      
          | il est alors possible d'obtenir toutes les ouvertures de session sur les
    clients avec des options définies par l'équipe de professeurs sur le
    serveur dans un fichier de configuration: ainsi, à chaque lancement du
    logiciel par un élève, REGRESSI s'ouvre toujours par défaut avec ces
    options prédéfinies, même si les utilisateurs du poste, lors de la session
    précédente, ont modifié les options sur leur poste. Cela peut éviter des
    problèmes tels que l'affichage de courbes avec une couleur transparente
    (!), ou permettre une certaine pédagogie (choisir par exemple un affichage
    par défaut des mesures avec 3 chiffres significatifs). De toute façon ,
    l'élève conserve la possibilité de modifier si nécessaire ces options
    localement, mais uniquement pour la session en cours (=les modifications ne
    seront pas sauvegardées à la fermeture). |  
       
     | 
  | 
     
   
A. Installation sur le serveur et exécution;
droits correspondants
L'installation sur le disque dur du serveur peut être
faite indifféremment à partir du serveur ou d'un client, avec des droits
d'administrateur en écriture. L'accès ultérieur au logiciel nécessite
évidemment des droits en lecture et exécution pour "tout le
monde". 
Créer sur les postes clients le raccourci de lancement vers le programme
installé sur le serveur. 
B. Configuration des options de REGRESSI pour
tout le réseau
  
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 Elle se fait en lançant le programme ConfigRegressi.exe,
qui doit se trouver dans le même répertoire que REGRESSI, avec des droits
d'exécution uniquement pour le professeur responsable, ainsi que d'écriture
(voir ci-dessous). 
La configuration choisie dans les différents onglets est
sauvée à la fermeture de la fenêtre dans un fichier ConfigRegressi.ini
dans le même répertoire du serveur (alors que les configurations
"utilisateurs" sont sauvegardées dans la base de registre du poste
client). 
Le fichier ConfigRegressi.txt contient une mini documentation sur
le programme ConfigRegressi.exe.
 
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(cédérom) 
  
  
(1) Ces
combinaisons de touches sont évidemment propres à Regressi! Ne pas essayer
dans un traitement de texte...
(2) Les
unités des grandeurs nouvelles créées dans Regressi sont en principe générées
automatiquement; le clic-G sur l'icône   permet de forcer leur
mise à jour après une modification manuelle dans l'onglet 'Unités
(3) le
nombre d'éléments sauvés avec le fichier a augmenté peu à peu avec les versions
successives de Regressi: demander éventuellement une mise à jour. 
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